Captive dans tes yeux
Qui m’as l’âme ravie
D’un sourire gracieux
Viens t'en me secourir
Ou me faudra mourir. (...)
Tes beautés et ta grâce
Et tes divins propos
Ont échauffé la glace
Qui me gelait les os
Et ont rempli mon cœur
D’une amoureuse ardeur. *
C'est ta fête, douce, et c'est la mienne chaque jour, chaque instant, depuis les 27 dernières années, au moins. Ravi, je le fus dès notre première rencontre qui m'a fait t'engager pour travailler à mes côtés. Ravi par "tes divins propos", ton sens de l'autre, ton jugement sûr, ta perpétuelle générosité qui, jamais, ne se dément. Ravi par ta franchise, par ta force, par ton audace, et par tes idées... qui se succèdent à un rythme effréné; ravi par ton insatiable faim de vivre. Ravi jusqu'à tomber, un jour, follement amoureux de toi.
C'est ce vieux titre du 16e siècle, Belle qui tient ma vie, qui s'impose à moi chaque fois que je pense à nous. Mon amour, ma douce, je suis imprégné de toi à jamais. Tu es toujours quelque part dans mes pensées, derrière mes actions. Vingt-sept, Loulou, une si grande partie de notre une vie avec nos enfants respectifs qui nous enrichissent, avec nos petits-enfants qui nous comblent.
Je ne vais pas refaire notre histoire, ces chroniques en parlent largement. Laisse moi juste rappeler celle-ci que j'avais intitulé L'érotique de l'eau où l'amour et l'amitié sont à l'honneur. Et surtout, regarde ces images, nos images, et bonne fête, Loulou!!!
Avec tes petits-fils Florent et Gédéon...
Avec dieu.
Avec ta filleule, Olivia avec qui il y a comme un magnet...
Avec Maëllie chérie.
*Paroles tirées de l'Orchésographie (1589) de Jehan Tabourot (1520-1595), dit Thoinot Arbeau.